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 Critique d'album

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H2o
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Date d'inscription : 14/01/2006

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MessageSujet: Critique d'album   Critique d'album EmptyMer 18 Jan - 6:37

La seule chronique ou "test" que j'ai pu faire concerne un album de musique, j'espère ne pas être hors sujet... Embarassed

Laissez moi votre avis et en espérant vous donnez envie de l'écouter ! Wink


Critique d'album 755962891

Dream Theater – Train Of Thought

Année : 2003

Nombre de pistes : 7

Genre : Bah du Dream quoi ! ^^


Quoi de mieux pour commencer ma modeste « pseudo carrière » de chroniqueur qu’un album de Dream Theater ?! Rien, assurément et je m’en vais gaiement vous en conter les charmes de ce pas…

Tout d’abord, arrêtons nous sur la pochette et le livret de ce septième album des New Yorkais. Que dire ? C’est sobre, fort esthétique ma foi et plutôt fantaisiste ce qui pour a pour cause de charmer mes sens oculaire.

Passons maintenant aux choses sérieuses avec mon ptit avis perso track par track : c’est partiiiiiiii…

As I Am

Les dernières notes du non moins fabuleux « Six Degrees Of Inner Turbulence » résonnent au loin avant d’enchaîner sur un son beaucoup plus dense et « métal ». Rythmique lourde, batterie puissante et compacte, on sent que les gaillards en veulent sur ce skeud ! Une production énorme dans tout les cas pour une mise en bouche bien agréable bien que me faisant penser un peu à du Metallica lors des refrains. Un morceau relativement peu technique pour asseoir un album résolument plus « méchant ».

This Dying Soul

Deuxième chanson contant les déboires de Portnoy avec l’alcool, premier morceau de l’album à dépasser les 10 minutes, tenons nous prêts… Ca commence en trombe avec une batterie martelant et suivant la rythmique bien métal de la gratte puis j’adore cette putain de cassure qui intervient tout le long des « couplet » ! Hormis le refrain que je trouve un peu fadasse (Labrie est un peu noyé sous la prod’) j’apprécie grandement la montée en puissance tout le long des onze minutes et quelques de cette ode au métal.

Endless Sacrifice

Ah… Peut être ma compo préféré de ce cd… Rien que l’intro de gratte me fout les frissons, je kiffe comme un gros porc qui sentirait la victuaille à 10 bornes à la ronde. La voix de Labrie est magistrale et pleine d’émotion mais quel dommage que le refrain sonne trop « kitsh » à mes oreilles et dénature un peu l’intensité émotionnelle du couplet. Je ne suis d’ailleurs pas fan des solo de Petrucci dans toutes les songs de cet album mais la reprise vers 8 minutes me mets en transe : batterie avec double pédale bien tripante, mélodie qui donne envie de bouger la tignasse que je n’ai pas et j’aime beaucoup le chant juste après même s’il fait assez cliché métal. On s’en tape, ce morceau bute : point !

Honor Thy Father

Dès le début Portnoy se lâche sévère avec une batterie arythmique de folie ! Compo originale dans le sens où on sent bien le côté « prog » du groupe : on ne renie pas ses origines bien longtemps et Dream nous le prouvent de bien belles manières. J’apprécie grandement les changements de mélodies et la présence plus soutenue de sieur Rudess au clavier. Le refrain bute et la chanson se laisse écouter un peu comme une lettre à la poste…

Vacant

Alors là du grand art ! Une piste bien tragique, triste et mortellement touchante nous est offert en apéritif de ce qui suivra une envolée musicale de haut vol. Que dire sinon que Labrie nous prouve une fois de plus qu’il sait distiller l’émotion avec talent (c’est le domaine où je l’affectionne le plus) et sobriété ? Un titre mythique pour moi et je l’espère aussi pour vous.

Stream Of Consciousness

Du Dream musical comme on l’a connu sur les opus précèdent, j’avoue ne pas être pas fan des instrumentaux à rallonge mais cette piste a plus d’un tour dans son sac pour nous faire changer d‘avis. Belle variété d’ambiance tout au long des onze minutes de cette piste avec un thème bien tripant qui revient assez souvent. Technique bien mise en valeur sans toutefois tomber dans l’overdose de notes pour tomber sur la (déjà) dernière piste de cet album…

In The Name Of God

Comment clore un album résolument différent de sa carrière sans se répéter ? Ecoutez et vous comprendrez… A la base je n’aimais pas des masses cette compo mais après plusieurs écoutes je fus charmé par les mélodies et l’ambiance assez lourde qui s’en dégage. Hormis le solo vomitif de Petrucci en fin de chanson le reste est proche de la perfection avec une mélodie bien tragique lors des refrains et des riffs puissant distillé avec talent tout du long.



Conclusion : Il ne s’agit pas de mon album préféré des ricains de Dream Theater mais il s’inscrit dans ses classiques tant le résultat final dépasse ce à quoi je m’attendais. Dommage que Rudess et Labrie soit un peu mis en retrait au profit de Petrucci et Portnoy mais l’album suivant (Octavarium) leurs donneront de quoi amplement se rattraper… ^^

Ses + : Une production énorme – Une registre assez inhabituel pour le groupe donc original - Péchu et efficace.

Ses - : Manque un peu de « feeling » surtout concernant les solos de gratte que j’ai beaucoup de mal à encadrer – Le chant n’est pas assez mis à profit – Euh… c’est tout je crois !

Line Up : James Labrie : Chant – John Myung : Basse – John Petrucci : Guitare – Jordan Rudess : Clavier – Mike Portnoy : Batterie/Choeurs.

H2o
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http://www.no-perfect.com
lordofmu
Invité




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MessageSujet: Re: Critique d'album   Critique d'album EmptyMer 18 Jan - 10:59

Désolé, mais moi celui-là j'y arrive pas, c'est "physique" Laughing
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kessiere
Invité




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MessageSujet: Re: Critique d'album   Critique d'album EmptyMer 18 Jan - 13:20

Allez hop à mon tour Wink (elle vient de mon blog: http://phenix.mabulle.com)


Critique d'album 028pepper350px


Je ferais d'abord une légere présentation du groupe puis je critiquerais l'album piste par piste.

Le groupe Arena est né en 1994, il s'agit d'un groupe de néo-prog formé par des ex-membres de Pendragon,Marillion,IQ et Shadowland, autant dire qu'avec des papa pareils ont ne s'attend pas à de la merde.

Leurs premier album "Songs from the lion cage" sort en 1995, immédiatemment apprécié par les fans de rock Arena devient l'un des groupe majeurs des années 90 et sort en 2005 son dixiéme album: Peeper's Ghost (plus d'info sur le site officiel:http://www.verglas.com/arenaworld/). Si vous connaissez Genesis on pourrait assimiler Arena à l'un de leur descendant.

Tout d'abord parlons de l'aspect extérieur de l'album avant de nous intéresser a la galette, en effet le design de la jaquette est tout simplement sublime et le packaging ne fait que renforcer la bonne impression graphique!

Le CD est construit comme un "livre musical", a savoir qu'il est accompagné d'un livret comportant (évidemment) les paroles mais aussi une ou deux planches de BD par chanson. Chacune d'entre elles disposent ainsi d'une triple lecture: BD,paroles et musique Wink



Bedlam Fayre (6 min 3) "Let the people mock and stare, See them run around,around,around..."
Un étrange homme (jack l'éventreur) libére des "monstres de cirques" pour semer la terreur dans Londres, heuresement 5 hommes sont là pour les empêcher de faire du mal...

Le moins qu'on puisse dire c'est que l'intro annonce bien la couleur de l'album! Riffs entrainant mais pas proéminent comme c'est beaucoup trop le cas dans les groupes populaires, batterie entrainante, basse puissante...Si on ajoute a cela une voix qui colle au tout comme du papier tue mouche on comprend que l'album sera placé sous le symbole de l'harmonie, tout dans ce morceau colle parfaitement et aucun élement ne parait "emprunté" ou "dejà-vu" un bon point quand on est déjà à 10 années d'existance!
Les paroles sont, ce qui ne gachent rien, vraiment à un autre niveau comparé aux productions rock habituelles: engagées sans être niaises que du bon Wink


Smoke and Mirrors (4 min 42) "More than smoke and mirrors,Can't you see me on the stage?..."/

Un enfant d'une famille aristocrate, né albinos, se révele être l'élu capable de porter "l'épée"...

Dès la deuxiéme chanson nous somme pris a contre-pied, autant Bedlam Fayre parté directement sur de bon gros son, autant la deuxième piste demarre presque mélancoliquement, pourtant bien vite la guitare "s'énerve" suivit de près par le reste des instruments, jusqu'à la première minute où le chant tente de calmer le jeu mais se fait emporter par la "colére" des paroles.Ensuite c'est le bonheur total, l'extase sensorielle^^



The Shattered Room(9 min 45) "Lost in this Darkness House-Living with this ancient wounds..."
Un cowboy est le seul survivant d'un massacre en plein désert,recuellit par les paches il est soumis au shamanisme: il est désormais "l'aigle"...

Quelques notes au clavier entame la piste la plus mélodique de l'album, hélas la beauté du titre endort un peu et un titre de 9 minutes qui endort... Mais heureusement, la maîtrise reste indiscutable. On se dit au bout de 6 minutes que le morceau est donc "moyen" mais soudain la chaîne hifi explose littéralement et nous entraîne pour 3 minutes de folie! Entre guitare audacieuse, batterie impec', base incroyable et voix entrainante tout dans la fin de ce titre est génialisime Wink Encore une fois l'harmonie est présente et ca marche!


The Eyes of Lara Moon(4 min 30) "And so we wait, Night after night,To share the fate, Trough the Eyes of Lara Moon..."

Un exorciste est appelé pour exercer d'urgence, mais en lieu d'une âme tourmenté il trouve une Succube...

Certainement la piste la plus atypique de l'album, ici la guitare n'est pas électrique mais séche, accompagné encore une fois des autres instruments impériaux et de la voix plus que bonne on se croirait autour d'un feu de camp^^

A noter le passage de la guitare électrique aux alentour des deux minutes tout simplement terrible! La piste se finira comme elle à commencé:par une belle maitrise de la guitare séche...


Tantalus(6 min 51) "Linking the chains that weight down your reason,Nothing to blame but the actions you choose..."

Un scientifique travaille sur la maîtrise du temps délaissant sa femme, jusqu'au jour ou celle-ci est assasiné par "Jack", tentant de revenir dans le passé pour la sauver, il ne parvient qu'a revivre la scéne encore et encore...

Certainement ma piste préféré de part la tristesse qui découle à la fois du théme, des paroles et de la musique. Une chanson pour un appel a la rédemption à la merci.

Le piano ouvre la chanson, suivit de Tantale decrivant son malheur, sa malediction, la guitare arrive ensuite pour transformer peu à peu la douleur en rage...Au fur et à mesure la voix prend plus en plus d'assurance, la batterie arrive pour la soutenir et la basse en fond fait tout le travail de liaison, de cohérance... Jusqu'à arriver a la 5 éme minute ou l'appel se change en cris jsuqu'à la fin... A noter que c'est la seule chanson à ne pas avoir de "fin" peut-être pour noter que le supplice de Tantale ne s'arretera jamais...


Purgatory Road(7 min 28) "I'm here to stay,Till the martians land on London Town..."

Un wagon transportant une familille anglais en Inde est attaqué par des bandits, seul rescapé le fils du couple est recueillit par des moines qui lui apprennent les arts martiaux...

Cette piste est géniale, c'est certainement avec Opera Fanatica la plus réussit de l'album, les instruments y sont puissants ainsi que les paroles, le refrain est vraiment bien trouvé et est magnifiquement soutenu par le clavier et la gratte. A la 4 éme minute on passe a la vitesse supérieure avec un clavier à la limite de l'électro et une basse entraînante, la piste s'achéve dans un éclat de gratte et de batterie surprenante sur la derniére minute.


Opera Fanatica (13 min 6, oui vous avez bien lû Wink ) "The king is dead so worship me, No voices in my head so worship me..."

Tous les héros se retrouve pour mettre un terme aux méfaits de "Jack" une fois pour toute, tout cela sur fond de démonisme et théatre en flamme...

Que dire de cette piste...Difficile de trouver ses mots pour la décrire, tout les instruments y sont usés a la perfection, les paroles sont gigantisime et le tout accompagné de choeurs... J'ai rarement entendu une aussi bonne utilisation de la notion d'harmonie et de la compréhension de la "musique" chez un groupe de rock. Chargé d'émotion, voilà la description la plus proche de la vérité.

Hélas la chanson peu paraitre trop "pleine" et "grandiloquante" chez le néophite, dommage pour un chef d'oeuvre qui conclut un excellent album
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lordofmu
Invité




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MessageSujet: Re: Critique d'album   Critique d'album EmptyMer 18 Jan - 14:14

Ca fait plaisir de voir des fans de prog en tous les cas Very Happy
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alxe_munshine
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alxe_munshine


Nombre de messages : 42
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Date d'inscription : 18/03/2006

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MessageSujet: Re: Critique d'album   Critique d'album EmptySam 1 Avr - 11:52

bof dream theater c'est plutot du metal prog et je préfère le rock prog des 70's que je trouve bien meilleur! j'ai écouter il n'y a pas longtemps un album de marrillion ( script for a jester tea ) et j'ai trouvé ça imbuvable !
c'est repompé sur genesis, mais c'est vraiment moins bien !
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MessageSujet: Re: Critique d'album   Critique d'album Empty

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